La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1552)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1551) -
Chapitre 17 bis : Lentretien dembauche
Avant de démarrer, jadressais un sms à Monsieur le Marquis pour linformer de ce rendez-vous
Sur la route, jessayais de me réveiller, de remettre mes idées dans lordre, de me concentrer sur cet entretien. Pas vraiment évident ! Des « flash-back » de ces journées de détention me revenaient sans cesse à lesprit. Je nétais pas ressorti indemne de ce premier long séjour au Château
Cependant ce matin, jallais beaucoup mieux quhier au soir. Je réalisais que ces temps de résilience mavaient apporté une autre vision de ce que devait être un esclave, pas seulement un esclave sexuel, mais un esclave tout court, un être inconsistant, malléable, modelable, façonnable, obéissant à toutes choses et docile dans labsolu. Un être contraint avec lesprit libéré de toutes charges du quotidien pour mieux concentrer son mental sur cette discipline rigoureuse exigée, pour mieux accepter cette Domination nécessaire à mon bien-être. Je ne mettais pas laisser abattre, javais été courageux, et puis
il y avait eu cette « enculade », mon vidage de couilles dans le cul desclavantoine, il mavait fait grand bien. Rien que dy penser, ma nouille cherchait encore à sépanouir, en vain, bien évidemment ! Cest dans cet état desprit, quelque peu excité, et après 1h30 de route que jarrivais devant lentreprise mâconnaise avec un peu davance. Je détestais arriver en retard à un rendez-vous. Je suivais une pancarte indiquant les bureaux.
Une jeune femme maccueillait. Il me semblait la connaitre
doù ? Je nen savais trop rien
Je nétais pas un grand physionomiste mais ce visage, ces cheveux noirs me rappelaient quelquun de déjà-vu. Elle était habillée strictement, un corsage blanc, col fermé, avec une jupe noire, droite, assez courte, pas de maquillage, les cheveux mi-longs lui tombant sur les épaules.
- Vous êtes Monsieur Lapeyrière ?, minterrogeait cette femme que je supposais être une secrétaire.
- Oui, cest bien moi.
- Je vais prévenir Monsieur Montambert, en attendant souhaitez-vous un café ?
- Bien volontiers.
A peine venais-je de finir cet expresso que je vis un homme, grand, mince, à fier allure, une quarantaine dannées, type jeune cadre dynamique, manches de chemises retroussées, venir à ma rencontre. Il me tendait la main, une main ferme et énergique en me disant :
- Bonjour Alex, je suis Martial Montambert, suivez-moi !
A peine avais-je eu le temps de le saluer ! Nous montions à létage supérieur, par des escaliers métalliques en colimaçon, faisant grand bruit.
- Par ici, entrez et installez-vous, jarrive de suite.
Le bureau était vaste, avec un mobilier contemporain. Jattendais le retour de Monsieur Montambert, debout devant une chaise face au bureau.
- Je vous en prie asseyez-vous ? me disait-il en rentrant dans son bureau.
Lhomme sinstallait dans son large fauteuil, sortait un dossier, cherchait ma lettre de motivation et mon CV parmi une dizaine dautres.
- Si je vous ai fait venir, cest parce que votre CV me plait, même si vous navez encore aucune expérience professionnelle. Vos études supérieures, votre formation répondent à mes attentes, de plus vous parlez couramment anglais, cest un plus recherché.
Après mavoir présenté son entreprise, il entrait dans les détails du poste à pourvoir.
- Si je retiens votre candidature, votre rôle sera de promouvoir nos terroirs, nos vins, en France, comme à létranger. Vous serez appelé à voyager principalement au Japon, le japonais aime le beaujolais nouveau, mais aussi au Royaume Uni, et aux Etats Unis.
Pendant quil me parlait, il me dévisageait, sans doute analysait-il mes réactions
Je restais sobre, attentif, à lécoute, sérieux.
- Ce poste à pourvoir, est un emploi à temps partiel, un temps partiel un peu particulier, quinze jours par mois environ
quinze jours qui pourront être réparti sur le mois, ou quinze jours daffilés, comme dans le cas dun voyage à létranger. Voilà ce quil en est Alex, voilà ce quest ma recherche. Etes-vous certain de répondre à mes attentes ? Etes-vous suffisamment disponible pour cet emploi ?
Lemploi était intéressant, la rémunération aussi, quarante mille euros bruts par an avec en sus primes sur le chiffre daffaires allant jusquà doubler ce revenu. Seul hic, ma disponibilité je nétais pas certain que cela convienne à Monsieur le Marquis. Me voyant hésiter, Monsieur Montambert reprenait
- Je vais vous laisser réfléchir Alex, je nai pas besoin dune réponse immédiate, si vous me faites part de vos choix dici cette fin de semaine, ça mira parfaitement. En attendant, parlez-moi un peu de vous, de vos hobbies, de votre vie familiale ?
Bien difficile de parler de soi, bien difficile de lui dire qui jétais réellement
Sans entrer dans les détails, je lui donnais quelques informations du type : orphelin, célibataire, espérant reprendre le travail de la vigne lorsque Charles prendrait sa retraite, la musique, la course à pied
- Très bien Alex, cet entretien est terminé, jattends votre retour, sachez que je priorise votre candidature.
Monsieur Montambert se levait, je le suivais confiant
trop peut-être ! Il avait sa main droite juste posée sur la poignée de la porte dentrée de son bureau, son regard brillant dans le mien ! Soudainement sa main gauche se saisissait de mon sexe encagé.
- Crois-tu mavoir tout dit, petite salope ? Penses-tu que je ne sais pas qui tu es précisément ? Dis-moi qui tu es, je le sais très bien, mais je veux lentendre de ta propre bouche de petite putain !
Je ne pouvais répondre, tant il pressait mes couilles. Je restais bouche grande ouverte, le souffle coupé
- Crois-tu que Monsieur le Marquis dEvans va laisser errer Ses esclaves, sans le moindre contrôle, sans quils soient parfaitement maitrisés et domestiqués, tu ne Le connais pas encore suffisamment, sale chienne que tu es. Parmi les tas de choses que tu ignores sur Monsieur le Marquis dEvans, saches aussi que la société Kinet Export Lui appartient, quIl en est le PDG, parmi toutes Ses autres et nombreuses entreprises quIl possède
A genoux, donne-moi ta bouche, esclavalex !
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!